Fermer

Vos réponses au questionnaire que je vous ai proposé après l’attentat de Trèbes

Quelques jours après l’attentat de Trèbes, j’ai souhaité recueillir dans ma newsletter du mois d’Avril dernier, votre avis sur différents sujets, qui aujourd’hui ne sont pas traités de manière satisfaisante, et qui se heurtent notamment au fait qu’une démocratie se trouve démunie face à un totalitarisme religieux qui combat ses principes.

Je vous en communique les résultats ainsi que les réponses aux questions ouvertes.

 

 

 

RADICALISATION :

1° Comment prévenir la radicalisation de certains jeunes?

-L’endoctrinement a lieu dans les quartiers, via internet, certaines mosquées, il serait peut-être bon de mettre en place et organiser un apprentissage religieux plus cadré, structuré, par des personnes modérés, instruites, des cursus obligatoires rendant obsolètes d’autres sites non reconnus, fermer ces derniers. De faire respecter la laïcité dans les établissements publics scolaires ou tout autre (pas de foulards,…), pas de pardon pour ceux qui aident les’ terroristes, pas de mise en vedette de ceux-ci via la presse. Raccompagnement dans leur pays des personnes incriminées lorsqu’elles ne sont pas françaises. Il faut sans doute être plus sévère en termes d’accueil et regroupement familial. Plus sévères en termes d’intégration des personnes. Offrir du travail à chacun, le désœuvrement est source d’endoctrinement facilité.

– Grâce à des éducateurs / psychologues de proximité – Les Imams devraient avoir un certificat pour pouvoir exercer. Ce certificat serait soumis à contrôles. J’ai cru comprendre que n’importe qui peut à ce jour se proclamer Imam … vrai ou faux ? – En communiquant avec les jeunes. C’est ce que font ceux qui les endoctrinent. Il faudrait utiliser les mêmes canaux ….

-Sujet très difficile, les jeunes musulmans – français – ont en fait du ressentiment envers la culture occidentale et la démocratie qui n’est pas le mode d’organisation des sociétés traditionalistes du moyen orient dont ils entendent parler. Mettre en avant la réussite de quelques figures issues de l’immigration – chercheurs, chefs de cliniques, entrepreneurs etc… et éloigner les imams radicaux – ils sont nombreux – fermer les mosquées salafistes , considérer que les frères musulmans et les organisations salafistes sont des organisations hors la loi. J’apprends qu’à la fac d’Orléans vient de se constituer une asso des étudiants musulmans, pour les élections représentatives…… On pourrait considérer que l’attention apportée « aux quartiers » est la source des mots de ces jeunes qui contestent jusqu’aux programmes scolaires mais lorsque l’on voit les sommes englouties où nous arrêterons nous. Rétablir une véritable autorité – quitte à ce qu’il y ai des bavures – Ces jeunes s’autorisent, en raison de notre laxisme, des actions qui seraient durement réprimées dans les pays qui leurs servent de modèle.

-L’éducation par l’école et les parents de ses individus

-La prévention dans les quartiers est loin, vraiment très loin d’être suffisante 2 personnes pour un quartier, quand il en faudrait 5 . Manque de dialogue… Les inclurent ou les accompagner dans des projets leurs « appartenant » , du sport et de la culture au cœur des quartiers… pourquoi ne pas leur demander leurs centres d’intérêts ?

-S’inquiéter des prêches tenus dans certaines mosquées salafistes. Peut-être envisager la fermeture de ces mosquées particulières et renvoyer, hors de France, les imams souvent étrangers.

-Mieux encadrer mieux surveiller mieux informer les jeunes.

 

2° Considérant que les centres pénitentiaires français sont des lieux de radicalisation, quelle(s) mesure(s) pourraient être mises en œuvre pour éviter ce phénomène?

-Étudier les raisons profondes qui poussent certains jeunes à se laisser entraîner sur cette voie et trouver des solutions pour les protéger quand ils sont en contact avec des détenus radicalisés. Peut-être associer l’armée et ses valeurs au milieu pénitentiaire…. (2)

-Peut-être éviter de mélanger certains détenus. Par exemple des jeunes désœuvrés, avec des détenus dont on connaît le pouvoir néfaste pour ces jeunes. Des jeunes paumés qui ne se seraient pas radicalisés à l’extérieur.

-Séparer les radicalisés de ceux qui pourraient être influencés

– En communiquant et en éduquant les personnes emprisonnées afin qu’elles aient conscience elles mêmes de ce phénomène. En prenant en compte les alertes de certains détenus, afin d’isoler ceux qui radicalisent les autres.

-Vider les prisons des étrangers ou binationaux avec interdiction de territoire définitive aux détenus condamnés au pénal, cela fera de la place pour réorganiser et limiter la propagation du phénomène et permettra de faire appliquer – sans remise aucune – les peines prononcées.

-Mélanger les individus en fonction de leur croyance religieuse et ne pas créer des ghettos de radicalisés.

-Peut-être faudrait-il sortir ces jeunes des banlieues, zones de non-droit le plus tôt possible pour les recevoir en internat avec un encadrement très strict portant notamment sur les valeurs fondamentales de la république, une éventuelle éducation religieuse faite par des imams triés sur le volet. Les petits délinquants ne devraient jamais mettre les pieds en prison mais être insérés jusqu’à leur majorité dans un établissement comme décrit ci-dessus pour palier à une carence manifeste de leurs parents qui doivent contribuer financièrement au coût de l’internat directement soit par un détournement d’une partie des aides sociales. Il convient aussi de responsabiliser les parents et de les associer à cette démarche. Pour ces zones de non droit il faut arriver rapidement à une tolérance zéro. Un autre aspect est trop négligé, outre le choix et le nombre des immigrés, c’est une éducation obligatoire pour rester en France. Il ne suffit de leur apprendre le Français, ils doivent aussi apprendre nos lois et nos règles. S’ils ne sont pas d’accord pour les respecter, ils n’ont rien à faire en France. Enfin il faut arrêter de donner la nationalité trop facilement, je suis même contre. Nous avons trop de Franco machin chose. Double nationalité non.

-Contrôler l’identité réel des personnes qui arrivent sur le territoire français. Être à l’écoute du citoyen et faire de vraie enquête. Contrôler les allers-retours des suspects. Imposer l’apprentissage du français et des règles de civisme au nouveau arrivant. Infiltrer les bars de communauté musulmans. Lutter contre le communautarisme. Lutter contre le trafic de drogue et l’économie souterraine. Se rapprocher des autorités marocaines qui connaissent les pratiques des terroristes mieux que nous français. Éviter le décrochage scolaire. Que la justice soutienne les forces de l’ordre. Signalement = suspicion (potentiellement dangereux) Aller sur les bancs d’école des terroristes.

-Revoir les peines de prisons pour les délits mineurs.

-Les prisons françaises sont un luxe. Quand on entend un jeune 21 -22 ans vous dire, je vais me refaire une santé aux frais de l’état : nourri, logé, blanchi … imposer leur des conditions de vies difficiles ( restant humaines) : faire des chantiers autoroutes, rénover nos voies ferrées …, vous allez leur faire tomber l’envie de se radicaliser ! La radicalisation n’existe pas : l’alcool et la drogue avec un bon lavage de cerveau vous fais commettre n’importe quel acte !

-Les bracelets sont une réponse intéressante… Dans un premier temps, pourquoi ne pas appliquer toutes les lois existantes concernant : la laïcité et le retour des personnes en situation irrégulière…

-Au lieu de vendre les anciennes casernes ou bases militaires il serait sans doute possible d’en aménager en centre de rétention, formation, en laïcité totale, pour des jeunes déjà en dérives.

-Éviter les contacts avec les sujets dangereux.