A propos de ma question au Gouvernement sur l’accès aux soins
Aujourd’hui j’ai posé une question au gouvernement à propos du numerus clausus des études médicales qui n’évolue pas à la faculté de Tours alors que notre région et notre département sont parmi ceux en France qui ont le moins de médecins par habitant.
La réponse de la ministre est désespérante et démontre que le problème de la désertification médicale dans notre région est traité de façon insuffisante alors qu’il y a urgence à trouver des solutions concrètes. Les études de médecine sont longues et coûteuses pour la société (ce qui est normal). On ne peut accepter que des régions entières soient dépourvues de professionnels de santé. Comme pour les pharmaciens qui sont répartis équitablement dans toute la France je suis favorable à une forme de contrainte pour que les médecins s’installent là où l’on a besoin d’eux.