Édito de la lettre du 21 décembre 2021
Les fêtes de fin d’année sont traditionnellement un temps durant lequel familles et amis se retrouvent. Cette année pourtant, le coronavirus sévit encore, avec le variant Delta et Omicron qui nous menace. L’Europe est devenue l’épicentre de la pandémie. Et certains pays se reconfinent déjà tels l’Autriche, les Pays-Bas et la ville de Londres.
Nous devons tout faire pour éviter un nouveau confinement, synonyme d’isolement, de faillite et d’endettement. Cela signifie, bien sûr, se vacciner – et la France présente heureusement un fort taux de vaccination –, mais aussi respecter plus que jamais les gestes barrières pour lesquels un relâchement se constate quotidiennement. Cela implique également de renoncer aux rassemblements qui sont, de façon inévitable, des lieux de propagation du virus. Il y va de la responsabilité de chacun, pour soi-même mais aussi pour les autres.
Soyez prudents lors des fêtes familiales, par exemple en évitant les embrassades et en veillant aux personnes les plus vulnérables. Faites-vous tester avant de vous réunir, vaccinez-vous ou faites le rappel utile. C’est le devoir de chacun de protéger ceux que l’on aime. Ces mots de prudence et d’attention collective, que l’on entend depuis trop longtemps désormais, ne sont guère réjouissants, j’en conviens volontiers, mais ils restent nécessaires et indispensables à rappeler tant que l’on n’aura pas réduit la menace pandémique.
La solide confiance en l’avenir, l’attention à nos proches, aux personnes fragiles, à ceux qui sont démunis demeurent les messages les plus important à transmettre, particulièrement en cette période de l’année. Cette « trêve des confiseurs » invite à la détente, à la joie et au partage, malgré la distanciation sociale.
À tous, je souhaite de très bonnes fêtes de fin d’année et vous donne rendez-vous dès le début de 2022, pour vous présenter mes vœux et évoquer les échéances importantes pour notre pays.